Suite premier Jour !

Je vis Yûri qui attendait avec ses valises.

_ Ah! Enfin... me lança-t-il agacé.
_ Je te présente Michiyo. C'est avec elle que je ferai la visite, annonçai-je.

Il regardai Michiyo avec un air étrange. Je sentis soudain un énervement provenir de moi. De la jalousie? Non c'est impossible.

_ Les chambres c'est là haut, ajoutai-je en indiquant les escaliers.

Il me remercia et salua Michiyo d'une façon qui me déplaisait beaucoup.

Aido me présenta à Yûri. Il était charment, vraiment. Et.. quelque chose attisait ma curiosité mais je ne saurais dire quoi. Il le remercia poliment et me salua, et je cru comprendre que cela ne plaisait pas a Aido. Il avait l'air énèrvé. Je ne sais pas pourquoi. Serait il jaloux ? Non, impossible. Je suis vraiment trop idiote ! Je regardais Aido. Il est vraiment trop mignon avec cet air là... Mais je me sortit de mes pensées et lui dit doucement :

- Et moi ? Tu ne m'as pas oublié j'espère... ? .. Dis je en souriant tendrement.

_ Et moi? Tu ne m'as pas oublié j'espère...?... me dit soudain une voix mélodieuse.

Je me retourna vers Michiyo. Elle me souriait tendrement. Comment pourrai-je t'oublier? Michiyo. Je le fixait toujours. Mes yeux bleus turquoises étaient plongés dans les siennes.

_ Non vient je vais te montrer ta chambre, répondis-je.

Je la pris par la main et nous montèrent les escaliers. Je me dirigea vers le dortoir des filles. Ma chambre est à la frontière entre ceux des garçons et ceux des filles. Nous passâmes devant.

_ C'est ma chambre vient me voir si tu as besoin de quelque chose.

Nous continuâmes à marcher. Après quelques secondes je m'arrêtai.

_ Euh j'ai oublié, c'est quoi le numéro de ta chambre? Questionnai-je.

- Non vient je vais te montrer ta chambre, me dit il

Il me prends par la main, sa main est douce. J'aime le contact de nos peaux... On montait les éscaliers, nous allions dans le dortoir des filles. Passé devant une chambre, Aido me dit :

- C'est ma chambre vient me voir si tu as besoin de quelque chose.

Je ne fit qu'un petit bruit pour lui faire comprendre un " oui ". On continuait de marcher, mais soudain, il s'arrêta.

- Euh j'ai oublié, c'est quoi le numéro de ta chambre ? me demanda t il

C'est vrai, qu'on est bête, sans le numéro de ma chambre, c'est impossible de la trouver ! Euuh... Ma chambre..

- Je crois que c'est la numéro 3 ! lui répondais je gaiment

la suite dans les dortoirs